L’exposition « Refuser la guerre coloniale » rend compte de l’exil parisien de près de 200.000 portugais ayant dit non à la guerre coloniale que le Portugal du dictateur Salazar a menée en Afrique de 1961 à 1975.

Par la même, elle redonne une place dans la mémoire collective à l’histoire des insoumis, des réfractaires et des déserteurs portugais ayant immigrés en France et notamment dans la région parisienne.

L’exposition est composée de d’objets, d’extraits de films, d’entretiens, de photographies, d’archives sonores, de caricatures, d’affiches, de vinyles et d’archives papiers.

La scénographie rend compte de l’expérience de la fuite, de la vie d’exil à Paris et de l’engagement politique contre la guerre coloniale.

Cliquez ici pour en savoir plus

Une histoire méconnue qui a marqué Paris

Des trajectoires individuelles exceptionnelles

Une documentation riche et visuelle

 14 ans de guerre coloniale (1961-1975)

+ de 8 000 déserteurs

+ 200 000 réfractaires et insoumis

900 000 portugais émigrent en France

Qui sommes nous ?

En avril 2003, nous avons créé l’association Mémoire Vive/Memória Viva dont l’objectif est de « recueillir et transmettre la mémoire de l’immigration portugaise dans un esprit d’échange et d’ouverture ». Depuis 15 ans nous menons un travail de longue haleine pour préserver cette mémoire et la partager. Cliquez ici pour en savoir plus. 

Depuis la création de notre association, nous menons une réflexion et des activités spécifiques sur les immigrés portugais qui ont refusé de faire la guerre coloniale que le Portugal a mené en Afrique de 1961 à 1975. L’exposition Refuser la Guerre Coloniale s’appuie sur notre expérience, un fonds d’archive unique que nous avons créé à la Contemporaine (Bibliothèque, Archives, Musée des mondes contemporains) et un réseau de structures ou de chercheurs partenaires. Cliquez ici pour en savoir plus.

Le projet d’exposition a reçu le Label Paris Europe de la mairie de Paris et le prix du meilleur projet associatif Macif/Simão de Carvalho de l’association Cap Magellan. Elle a également reçu le soutien financier de la Direction générale des affaires consulaires et des communautés portugaises (DGACCP) dépendant du Ministère portugais des affaires étrangères.

Pour nous contacter

9 + 1 =